f. LORENTÉ RÉNOVATION
Entreprise generale des travaux du Batiment. Aude, region Languedoc Roussillon. Toulouse, Midi-Pyrenees. Electricité, maçonnerie, platre, solaire photovoltaique, menuiserie, escalier, revetement sol
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Mardi 30 décembre 2008:
Lundi 29 décembre 2008:
Le PowerCube, une boîte remplie d'énergie
(src : LM)
Lyman-Morse, un constructeur bien connu de bateaux haut de gamme a développé en partenariat avec Reluminati, le PowerCube, un générateur d'énergie capable de produire jusqu'à 600 watts d'électricité dans des conditions solaires optimales.
Entièrement autonome, le PowerCube est enveloppé d'une coque en fibre de verre. Il s'adresse avant tout aux infrastuctures isolées hors de portée du réseau de distribution d'électricité ; mais il peut aussi jouer le rôle de générateur de secours et remplacer un groupe électrogène qui demeure encore relativement coûteux et bruyant.Selon LM, le modèle 600 watts - commercialisé au prix de 27 000 dollars - reste avantageux par rapport à d'autres générateurs. En effet, outre son système qui favorise la mobilité, ses batteries internes peuvent stocker et délivrer de l'énergie en continue pendant trois semaines avec des pointes à 3,5 kilowatts.
Une autre version plus évoluée et plus puissante devrait voir le jour. Cette dernière intégrera à la fois des technologies solaires & éoliennes et sont actuellement testées pour des applications militaires.
La grande illusion
Le nucléaire peut-il lutter contre le réchauffement climatique ?
En le mélangeant astucieusement avec les énergies douces, éolien, solaire, biomasse, les défenseurs de l’énergie nucléaire font preuve d’une contestable manipulation médiatique.
D’après le chercheur Benjamin Sovacool « si l’on tient compte de l’ensemble du cycle de vie de l’atome. C’est-à-dire depuis l’extraction de l’uranium jusqu’au démantèlement des centrales le nucléaire produit du CO2 » (rapport scientifique évoqué le 26 novembre dernier dans le journal belge « le soir »).
Il déclare :
« Si les centrales au charbon, au pétrole et au gaz émettent jusqu’à quinze fois plus de CO2 que les centrales nucléaires, le cycle de vie du combustible nucléaire peut produire dans certains cas près de deux tiers des émissions du cycle de vie des centrales gaz-vapeur ultraperformantes ».
Le chercheur met aussi en évidence le fait que les émissions de CO2 du cycle de vie des énergies renouvelables sont beaucoup moindres que dans la filière nucléaire.
Fermez le ban…
Le nucléaire permet-il l’indépendance énergétique ?
Rien n’est moins sur.
Notre uranium vient pour près de 70 % du Niger, provoquant au passage une guerre dont personne, ou presque, ne parle.
Un journaliste d’ARTE s’est vu privé de liberté pour avoir osé tenter un reportage sur le sujet.
Nucléaire rime-t-il avec électricité pas chère ?
C’est contestable.
Les futurs EPR, voient le coût de leur construction s’envoler, du aux retards consécutifs, aux erreurs de conception et en conséquence le prix du kilowatt s’envole aussi.
D’après le réseau sortir du nucléaire, dans un communiqué de presse du 3 décembre 08, le prix du kw nucléaire passe de 43 € (promis par EDF lors du débat public officiel du 3 novembre 2005) à 55 euros par mégawattheure.
Les actions nucléaires ne se portent pas mieux et on assiste à une dégringolade de 84 à 39 €. On ne peut pas en imputer la cause à la crise mondiale, car EDF et AREVA avaient déjà beaucoup baissé avant le déclenchement de la crise économique.
Même sans accident, le nucléaire est-il polluant ?
On apprend sous la plume d’isabelle Chevallier, présidente d’écologie libérale :
« Il est de bon ton aujourd’hui de prétendre que l’énergie nucléaire est une énergie propre. Mais c’est oublier un peu vite comment on enrichit l’uranium.
Prenons le Niger, qui compte deux mines d’uranium : l’une à ciel ouvert et l’autre souterraine. Les mineurs qui y travaillent n’ont aucune idée de ce qu’est l’uranium et encore moins de sa dangerosité. Par exemple, lorsqu’il faut transporter l’uranium jusqu’à la capitale, il était, jusqu’à l’année passée, déposé simplement à l’air libre sur le pont des camions…Les dirigeants de la mine avaient aussi pour habitude d’offrir les vieilles ferrailles de la mine à leurs ouvriers. Ces derniers les revendaient aux ferrailleurs de la ville d’Arlit. Puis la transformation de ces vieilles ferrailles pouvait commencer, notamment en casseroles, cadres de fenêtre, etc. Un rapport de la CRIIRAD a récemment montré que ces objets étaient contaminés et avaient été vendus dans tout le pays…Par ailleurs, pour enrichir l’uranium, il faut beaucoup d’eau. Comme les mines se trouvent en plein désert, on a puisé toute l’eau des nappes phréatiques et on s’attaque maintenant aux nappes fossiles (il faut 500 ans pour les régénérer). La région ne comporte pratiquement plus d’arbres, puisque ces derniers ne peuvent aller chercher l’eau dont ils ont besoin.Lorsque l’on extrait de l’uranium, une part inférieure à 1% est constituée d’uranium fissile. L’enrichissement génère donc de grandes quantités de déchets, qui sont stockées à l’air libre. Ces poussières, qui contiennent encore 80% de la radioactivité, sont soumises aux vents violents coutumiers dans le désert et, du même coup, contaminent toute la région.Comme si cela ne suffisait pas, le traitement de l’uranium nécessite de grandes quantités d’acide sulfurique. Celui-ci est produit directement sur place dans des conditions lamentables. Cette fabrication génère des pluies acides, qui ont détruit toute la flore locale »
En résumé, le nucléaire est cher, ne permet pas une indépendance énergétique, génère des conflits, et pollue pour longtemps l’environnement, même sans accident.
Comme disait un vieil ami africain :
« Tout à une fin, sauf la banane qui en a deux ».
La loi de finances rectificatives de 2008 récemment adoptée prévoit une exonération d'impôt sur le revenu pour le produit de la vente d'électricité concernant des installations de panneaux photovoltaïques n'excédant pas les 3 kilowatts-crête (soit environ 30 m² de panneaux solaires). Cette mesure est applicable pour la déclaration de revenu de 2008. Les particuliers équipés de ce genre d'installation inférieure à 3 kilowatts-crête n'auront donc plus aucune démarche fiscale à faire à partir de cette année.
Cette modification du texte de loi initial a été faite car jusqu'à maintenant la vente d'énergie (n'oublions pas que la plupart des particuliers possédant des panneaux solaires revendent leur électricité à EDF) était considérée comme un acte de commerce et donc soumis aux impôts sur les bénéfices comme toute activité commerciale. Les obligations fiscales et comptables qui en découlaient sont donc abandonnées car le ministère de l'écologie et son ministre Jean Louis Borloo ont considéré que c'était un frein important au développement du secteur de l'énergie solaire.
En effet, si la France veut tenir ses engagements pris en matière de développement durable lors du grenelle de l'environnement, elle a intérêt à simplifier au maximum les démarches des particuliers souhaitant adopter cette énergie renouvelable. Jean Louis Borloo donc proposer le 17 novembre dernier un plan destiné à accompagner les mesures prises lors du Grenelle de manière très concrète. Ce plan comporte 50 mesures opérationnelles concernant l'ensemble des filières de bioénergie : éolien, géothermie, hydroélectricité, solaire, énergies de la mer... c'est la mesure n°34 de ce plan qui a été adoptée par le Parlement initiée par le député UMP du Val d'Oise Jérôme Chartier. Mais le ministère de l'écologie compte aller plus loin pour développer l'énergie solaire puisque à court terme, seulement deux démarches administratives seront obligatoires contre cinq actuellement pour ce genre d'équipement !
ELECTRICITE DE FRANCE : Attendre un test du support
© TEC SYNTHESELe MACD est négatif, mais il se situe au-dessus de sa ligne de signal : la tendance est en train de changer. Maintenant, le MACD doit franchir zéro pour que la hausse se poursuive dans les jours à venir. L'indicateur principal de la force du mouvement (RSI) montre que la situation technique est assez saine car il n'y a pas de surachat. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours. MOUVEMENTS ET NIVEAUXLe titre est orienté à la baisse. Il est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 43,48 EUR. La moyenne mobile à 20 jours est inférieure à la moyenne mobile à 50 jours. Notre premier support est à 34,96 EUR, puis à 32,81 EUR et la résistance est à 47,86 EUR, puis à 50,01 EUR.
Dernier cours
: 40.24
Opinion
: positive
Tendance
: baissière
Support
: 34.96 / 32.81
Resistance
: 47.86 / 50.01
Six cents ménages bernois profitent du solaire
L’énergie solaire engrangée par la plus grande centrale du pays, celle du Stade de Suisse à Berne, et celle de la centrale du Mont-Soleil, a permis en 2008 de couvrir les besoins en électricité de 600 ménages. Mont-Soleil a totalisé 550 mille kilowatt/heure contre 1,3 million kw/h pour le Stade de Suisse. Les Forces motrices bernoises se réjouissent de ces résultats./ amy
En 1933, Ernest Huber — petit électricien mulhousien — ouvrait sa boutique rue de Belfort à Mulhouse. Ce petit magasin est devenu, au fil des années, une véritable institution. Récit d’une saga électrique au cœur de Mulhouse.
« À 26 ans, mon papa a trouvé un petit local au 39, rue de Belfort pour y créer son magasin. Il y avait une vitrine et une porte. Son brevet d’électricien en poche, il effectuait des petits travaux d’électricité générale pour le quartier. » Roland Huber a grandi avec la boutique de ses parents qui a ouvert ses portes l’année de sa naissance. Avant de prendre une retraite bien méritée en 2007 et de céder sa place à son fils Hervé, il a naturellement travaillé dans la boutique avant de succéder à son père dans les années 60. D’une simple boutique de réparations, les activités de la famille Huber se sont développées au fil des années. Aujourd’hui, le magasin est devenu grand (de 20 m² à 200 m²) avec, outre l’électricité classique, une large partie dédiée à la décoration de maison. Une entreprise de travaux électriques, d’éclairage public et d’installations souterraines a également été créée pour diversifier l’activité.Si les travaux manuels ont toujours été l’apanage des hommes de la famille, la boutique est réservée aux femmes. « C’est ma mère, Lucie, qui gérait le magasin, se souvient Annie, la petite sœur de Roland. Elle avait une formation de couturière et c’est grâce à cela qu’au début de la Deuxième Guerre mondiale mes parents ont décidé de créer des coussins chauffants. C’était la marque de fabrique de la boutique. » Des coussins chauffants, qui dès 1945, ont été supplantés par les postes radios de la marque Dirnay. Deux employés ont rejoint l’équipe familiale et près de 40 postes radios étaient fabriqués par semaine. « On en envoyait dans la France entière et même en Afrique, enchaîne Roland. C’est à partir de ce moment-là que le magasin s’est développé et que l’on a proposé différents services liés à l’électricité. »
Il y avait un avenir dans la maison familiale
En 1959, Roland décroche son brevet de maîtrise. « Il y avait un avenir dans la maison familiale, avoue-t-il. Logiquement, vis-à-vis de nos parents, on se sentait engagé. » Annie, quant à elle, a repris les commandes du magasin après son apprentissage en 1963. « Maman est sortie un jour du magasin, pour ne plus jamais y rentrer, sourit Annie. Elle m’a laissé les clés de la boutique pour s’occuper de ses petits-enfants. » À l’époque, le client venait d’un peu partout. Situé en plein cœur de Dornach, le magasin se trouvait sur une artère passante. Mais la création du boulevard de Paris, devenu avenue François-Mitterrand, a changé la donne en coupant Dornach en deux. « Nous avons compris qu’il fallait scinder le magasin et l’entreprise, explique Roland. On a créé un chemin parallèle, en s’orientant dans l’installation électrique plus complexe comme dans l’industrie et le tertiaire. » C’est au milieu des années 90 qu’Hervé, le fils de Roland, entre dans la société qui se développe de plus en plus. Aujourd’hui, après la retraite de son père, il en est le président directeur général. Du côté de la boutique, un changement de taille a aussi eu lieu depuis le départ à la retraite d’Annie : une non-Huber est devenue responsable du magasin. « C’est Sylvie (Sylvie Reder) la chef et cela fonctionne très bien, sourit Annie. Mais il y a toujours une Huber qui traîne. La femme d’Hervé, Caroline, est souvent là. » Une nouvelle Huber et une quatrième génération qui attend impatiemment son tour.
Y ALLER La boutique Huber est ouverte le lundi de 14 h à 18 h 30 et du mardi au samedi, de 8 h 30 à 12 h et de 14 h à 18 h 30 (sauf le vendredi en non stop).
Neuf sociétés vont tester la pile à combustible d'Opel
Dans le cadre du programme d'essai mondial zéro émission de GM, Opel a lancé début décembre en Allemagne et en partenariat avec neuf sociétés, un programme d'essai sur son nouveau système de pile à combustible : Hydrogen4.
En combinant l'hydrogène et l'oxygène de l'air, cette dernière génération de pile à combustible est constituée de 440 cellules. La PAC génére une puissance de 73 kW d'électricité, assez pour propulser le véhicule à 160 km/h. Une centaine de véhicules HydroGen4 circulent aux USA et au Japon, totalisant déjà plus de 700 000 kms parcourus. Les sociétés Adac, Allianz, Coca-Cola, Hilton, Shindler, Axel Springer, Veolia, Total et Linde, viennent de recevoir un véhicule à leurs couleurs et seront les premières à tester la viabilité d'un tel système en Europe.Ce projet est financé par le ministère des Transports allemand dans le cadre du Clean Energy Partnership : "Nous sommes reconnaissants de l'engagement du ministère fédéral des Transports allemand en faveur de l'hydrogène comme technologie de propulsion, et nous sommes heureux que ces partenaires industriels de grande réputation nous aient rejoints au moment où nous faisons progresser la technologie zéro émission de la pile à combustible avec le programme HydroGen4 " a affirmé Carl-Peter Forster, président de GM Europe lors du lancement. " Notre futur repose sur la voiture électrique alimentée par batterie ou par pile à combustible. Cette technologie nous permettra de réduire les émissions globales de CO2 sur le long terme et d'aider également à diminuer notre dépendance à l'égard du pétrole. Grâce à la recherche et à l'innovation, des produits commercialisables sont en cours de développement aujourd'hui. Je suis heureux de faire partie et de soutenir personnellement ce projet. En Allemagne, nous avons atteint un niveau très élevé de connaissance de la technologie de la pile à combustible à hydrogène. Et nous devons renforcer cet avantage. Mon administration a dépensé 500 millions d'euros pour soutenir le programme national pour l'hydrogène et la technique de la pile à combustible. Le secteur industriel s'est engagé dans un effort identique. Ce programme se révèle une réussite totale ", a ajouté Wolfgang Tiefensee, le ministre des Transports allemand.
FMB/BKW: centrales solaires fournissent de l'électricité à 600 ménages en 2008
Berne (AWP/ats) La plus grande centrale solaire de Suisse, sur le stade de Suisse à Berne, et la centrale photovoltaïque du Mont-Soleil, ont produit suffisamment d'électricité en 2008 pour répondre aux besoins de quelque 600 ménages.
La centrale du Stade de Suisse a produit 1,3 million de kW/h, celle du Mont-Soleil, dans le Jura bernois, a totalisé 550 000 kW/h. Les FMB, qui exploitent les deux, se sont réjouis de ces résultats lundi dans un communiqué.
Des milliers de foyers privés d'électricité
(Québec) Près de 10 000 abonnés d'Hydro-Québec des régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches ont été privés d'électricité pendant quelques heures, hier soir, alors que des vents violents pouvant atteindre 100 km/h se sont levés sur plusieurs régions de la province.
«Les vents provoquent le contact de branches d'arbres sur des composantes du réseau électrique, ce qui fait déclencher le système de protection et cause les pannes. Dans certains cas, nous pouvons remettre le courant en marche sans nous rendre sur les lieux mais, dans d'autres, les branches restent sur les fils et des patrouilleurs doivent les déplacer avant la remise en service», explique Mme Claire Trépanier, porte-parole d'Hydro-Québec.Si les régions 03 et 12 avaient été relativement épargnées par les pannes samedi, la situation a changé à partir de 16h30 hier, alors que les forts vents ont débuté. Lévis a été l'une des premières villes frappées en Chaudière-Appalaches mais le service était revenu chez la plupart des abonnés en milieu de soirée.
Vers 20h hier, plus de 5000 abonnés étaient encore privés d'électricité sur la Rive-Sud, majoritairement dans les Etchemins, en Nouvelle-Beauce et dans Lotbinière, et plus de 4000 dans la Capitale-Nationale, notamment à Québec et dans la MRC de la Jacques-Cartier.
«Nous réparons certaines pan-nes, mais comme il y a toujours de forts vents, d'autres apparaissent», explique Mme Trépanier. À 21h, la situation semblait vouloir revenir sous contrôle sur la Rive-Sud, alors que seulement 534 foyers étaient privés d'électricité, tandis que 3000 abonnés devaient encore s'é-clairer à la chandelle dans la Capitale-Nationale.
Ailleurs au Québec, 17 500 abonnés des Laurentides, de Laval, de Lanaudière et de l'Outaouais, 14 000 de Montréal, et 6000 du Richelieu ont également subi des pannes.
En outre, le ministère des Transports du Québec a envisagé hier de fermer le pont Pierre-Laporte et le pont de Québec aux camions-remorques à cause des forts vents. Lorsque les remorques des camions sont vides, les vents peuvent les déstabiliser, explique Paul-Jean Charest, du MTQ. Hier, le MTQ a enregistré des vents allant jusqu'à 70 km/h, mais pour fermer les deux ponts aux camions-remorques, il faut qu'il y ait des pointes soutenues de 100 km/h.
Deux parcs éoliens autorisés dans l'Aube et Loire-Atlantique
La trêve des confiseurs ne concerne pas les énergies renouvelables. Au Journal officiel ont été publiées 12 autorisations d’exploitation de centrales d'électricité, dont deux concernent des parcs éoliens et dix des centrales solaires. EolienJO du 27 décembre 2008- Par arrêté du 16 décembre 2008, la SAS Société du parc éolien de Lévigny (25, place de la Madeleine, 75008 Paris), est autorisée à exploiter un parc éolien, d’une capacité de production de 10 MW, localisé lieudit Poil de Loup, à Lévigny (Aube).- Par arrêté du 16 décembre 2008, la SARL Ferme éolienne de SMCC (180, rue du Maréchal-Leclerc, 33130 Bègles), est autorisée à exploiter un parc éolien, d’une capacité de production de 10 MW, localisé lieudit Les Trois Boisselées, à Saint-Michel-Chef-Chef (Loire-Atlantique).--------SolaireJO du 27 décembre 2008- Par arrêté du 8 décembre 2008, la SASU Société de projet photovoltaïque 6 (3, rue Léon-Jost, 75017 Paris), est autorisée à exploiter la société du même nom, d’une capacité de production de 12 MWc, localisée chemin de Las Ribes, à Alenya (Pyrénées-Orientales).- Par arrêté du 8 décembre 2008, la SASU Société de projet photovoltaïque 3 (3, rue Léon-Jost, 75017 Paris), est autorisée à exploiter la société du même nom, d’une capacité de production de 12 MWc, localisée lieudits La Jalousie et Gujan, à Saint-Magne (Gironde).26 décembre 2008- Par arrêté du 8 décembre 2008, la SARL Solaire Sainte-Tulle (85, boulevard Haussmann, 75008 Paris), est autorisée à exploiter un parc photovoltaïque, d’une capacité de production de 10 MWc, localisé lieudit Les Routes, à Sainte-Tulle (Alpes de Haute-Provence).- Par arrêté du 8 décembre 2008, la SASU Société de projet photovoltaïque 4 (3, rue Léon-Jost, 75017 Paris), est autorisée à exploiter la société éponyme, d’une capacité de production de 12 MWc, localisée lieudits Valasse et chemin de la Jourda-Dom de Montmarin, à Montblanc (Hérault).- Par arrêté du 8 décembre 2008, la SAS Quantum Energie Antilles (usine du Galion, 97220 La Trinité), est autorisée à exploiter une centrale photovoltaïque, d’une capacité de production de 9,942 MWc, localisée lieudit Habitation Séguineau, à Le Marigot (Martinique).23 décembre 2008- Par arrêté du 9 décembre 2008, la SAS CHO-Power (471, route de Cantegrit-Est, 40110 Morcenx), est autorisée à exploiter une installation de production d’énergie électrique et de chaleur valorisée fonctionnant par gazéification de biomasse, d’une capacité de production de 12 MW, située sur le terrain de la société Inertam, 471, route de Cantegrit-Est, lotissement intercommunal de Cantegrit II, à Morcenx (Landes).- Par arrêtés du 9 décembre 2008, la SAS Energy Caraïbes (immeuble Entre-Deux-Mers, ZAC Moudong-Sud, 97122 Baie-Mahault), est autorisée à exploiter les fermes solaires de Bélise 1, Bélise 2, Bélise 3, d’une capacité respective de production de 13,80 MWc, 13,70 MWc et 13,60 MWc, localisées lieudit Bélise, Tamarin, à Petit-Canal (Guadeloupe).- Par arrêté du 9 décembre 2008, la SAS Quantum Caraïbes (usine du Galion, 97220 Trinité), est autorisée à exploiter une centrale photovoltaïque, d’une capacité de production de 12 MWc, localisée lieudit Marly, à Sainte-Anne (Guadeloupe).
Vague de froid : la France atomique sauvée par... l’Allemagne antinucléaire
lundi 29 décembre 2008, par Frederique
Réseau "Sortir du nucléaire" - Fédération de 840 associations Communiqué du samedi 27 décembre 2008 - Contact : 06.64.100.333
L’option nucléaire face au réchauffement climatique n’est pas seulement dangereuse, elle est aussi parfaitement inefficace
A partir de ce samedi, une forte vague de froid est annoncée sur la France, avec des températures négatives sur une grande partie du territoire. A cette occasion, l’absurdité de l’option nucléaire française va une fois de plus être démontrée : en effet, bien qu’engagée dans un plan de sortie du nucléaire, c’est l’Allemagne qui va approvisionner une bonne partie des chauffages électriques de l’Hexagone.
L’explication est simple : pour "justifier" leur politique nucléaire, EDF et l’Etat français ont procédé à l’installation de millions de chauffages électriques. Or, chaque fois que la température baisse, la consommation due aux convecteurs électriques est telle que, malgré 58 réacteurs, le parc nucléaire français est largement dépassé : ce sont alors des centrales thermiques (gaz, fuel, charbon), françaises et étrangères, principalement allemandes, qui sont mises en service pour chauffer la "France électrique".
Le fait est que les centrales nucléaires ne sont pas du tout adaptées aux variations de puissance, elles fournissent une puissance constante... quelle que soit la demande en électricité. Comme EDF continue de promouvoir le chauffage électrique, on note le recours de plus en plus important à des centrales thermiques. D’ailleurs, dans son Rapport d’information n° 357 de juin 2007, le Sénat constate que "la France, pour assurer sa sécurité d’approvisionnement, doit consolider ses moyens de pointe. En effet, le parc de production dispose de surcapacités en base autorisant des exportations d’électricité mais semble insuffisant pour assurer la pointe".
Résultat, comme l’ont récemment reconnu le RTE (Réseau de Transport de l’Electricité) et l’Ademe (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), l’utilisation du chauffage électrique entraine de fortes émissions de co2 qui, même si elles ont lieu en Allemagne, devraient être attribuées à la France et même au nucléaire français.
Ces données disqualifient de fait la réponse "de bon sens" qui nous est parfois faite, c’est à dire... augmenter le nombre de réacteurs nucléaires : cela ne répondrait en rien au problème de la consommation de pointe. De toute façon, il serait techniquement dangereux et financièrement suicidaire pour EDF d’utiliser des réacteurs nucléaires seulement pour couvrir les pointes de consommation, et de les laisser à l’arrêt le reste du temps. Voilà la France bien handicapée, face à de fortes chutes de température, avec ses 58 réacteurs nucléaires incapables d’alimenter des millions de chauffages électriques.
De fait, depuis 5 ans, c’est l’Allemagne qui est exportatrice nette d’électricité vers la France (*), et non l’inverse comme le prétendent ceux qui, par ignorance ou mauvaise foi, clament que l’Allemagne sortirait du nucléaire... en important l’électricité nucléaire française. Certes, la question de la lutte contre le réchauffement climatique reste entière, mais il est important de comprendre que la "solution" nucléaire n’est pas seulement dangereuse, elle est aussi totalement inefficace et aggrave même la situation.
Une fois de plus, le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle que la seule option d’avenir consiste à économiser l’énergie et développer massivement les énergies renouvelables. C’est seulement ainsi qu’il sera possible de sauver la planète du réchauffement climatique... et du péril atomique.
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EDF: griefs de la Direction Générale de la Concurrence.29/12/2008 - 08:38 - (CercleFinance.com) - EDF a confirmé que des griefs lui ont été signifiés par la Direction Générale de la Concurrence de la Commission Européenne. Ces griefs sont liés aux contrats à long terme conclus par le groupe en France avec des consommateurs finaux d'électricité, en particulier industriels. Ces contrats seraient, selon la Commission, de nature à limiter l'accès au marché français de l'électricité et susceptibles de constituer un abus de position dominante.La direction d'EDF précise que 'cette communication de griefs est la première étape d'un échange contradictoire entre EDF et la Direction Générale de la Concurrence et ne préjuge en rien de la décision finale qui sera prise par la Commission Européenne'.
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"Monsieur Prix" estime que les prix seront favorables pour les consommateurs l'année prochaine
29.12.2008 09:46
L'année 2009 devrait être favorable aux consommateurs. Une baisse des prix dans les domaines du gaz et des céréales, par exemple, est envisageable, selon le Surveillant des prix, interrogé par AP. Sans oublier que les taux hypothécaires sont à des planchers. Mais il faut veiller à ce que la baisse des prix dans certains secteurs soient répercutées sur le consommateur, note Stefan Meierhans. Les prévisions d'inflation sont pour l'heure l'une des rares lueurs dans un ciel de crise. Les économistes tablent pour l'an prochain sur une inflation de moins de 1%. Et "Monsieur Prix" juge que la vie devrait être meilleur marché.Un autre élément devrait parler pour la stabilité des prix: en période économique morose, il est difficile d'augmenter les tarifs. Et la décision du Conseil national d'autoriser les importations parallèles de produits brevetés sauf pour les médicaments est aussi une chance à court terme, note "Monsieur Prix". Les perspectives ne sont pas bonnes dans tous les domaines. Des hausses sont à craindre dans le secteur de l'électricité. Il ne devrait pas y avoir de détente du côté de la santé. Mais "Monsieur Prix" reste optimiste pour la consommation, les Suisses ressentant peu la crise dans la vie de tous les jours. (SWISS TXT)
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L'électricité nucléaire chinoise entre dans une phase importante de développement
Une conférence pour commémorer le 30e anniversaire de la construction de la centrale nucléaire de Daya Bay, la première grande centrale nucléaire de la partie continentale de la Chine, s'est tenue dimanche dernier à Shenzhen. Dans son discours, le président du Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale, Wu Banguo, a expliqué que l'électricité nucléaire entre dans une phase de développement en Chine. Il a ajouté qu'il faut faire le bilan de l'expérience de la construction de la centrale nucléaire de Daya Bay, renforcer la capacité d'innovation, garantir la qualité des projets et la sécurité d'exploitation. L'objectif étant de développer le secteur de l'électricité nucléaire.
À l'heure actuelle, la Chine compte 6 centrales nucléaires en exploitation. Et plus de 10 nouveaux projets de centrales nucléaires sont en cours de construction ou de mise en oeuvre. La Chine compte augmenter de 4% la part de l'électricité nucléaire dans la production totale d'ici à 2020.
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Le N.-B. profite enfin du vent
Mise à jour le lundi 29 décembre 2008
Par: Fradette, Réal
CARAQUET - Le vent n’est plus que du vent, au Nouveau-Brunswick. L’année qui se termine a vu l’industrie éolienne passer de la théorie fort prometteuse à la pratique énergétique.
Les premières des 30 turbines prévues dans le parc de Kent Hills, dans le Sud-Est, ont commencé à produire, en octobre, les premiers mégawatts commerciaux d’électricité, à partir de la force du vent, de l’histoire de la province.
Du coup, le N.-B. est devenu l’avant-dernière province canadienne à se tourner vers ce type d’énergie. Il ne reste plus que la Colombie-Britannique à profiter d’Éole, ce qui se fera en 2009.
Mais les turbines de Kent Hills ne seront pas seules très longtemps.
Avant la fin de la prochaine année, Énergie NB aura respecté plus des trois quarts de son intention de produire 400 MW d’électricité provenant du vent, d’ici à 2010, une énergie verte qui alimentera au-delà de 50 000 foyers dans la province, avec trois autres parcs commerciaux fonctionnels.
Les douze derniers mois ont vu l’industrie rouler à une vitesse supersonique.
Le gouvernement Graham a lancé le bal en janvier et en février, par l’annonce de la construction des parcs à Lamèque (49,5 MW) et à la mine Caribou (99 MW), des projets qui nécessiteront des investissements totaux de plus de 300 millions $.
Mais tout n’a pas fonctionné comme sur des roulettes. Le projet de 99 MW dans le secteur de Grande-Anse et Pokeshaw est mort au feuilleton lorsque les négociations entre Énergie NB et la compagnie E.on ont achoppé.
-Batteries lithium-ion pour automobile: Nissan et NEC accélèrent les projets
[ 29 déc 2008 11:57 ] Le constructeur automobile japonais Nissan et son compatriote de l’électronique NEC vont avancer leurs plans de production en masse de batteries lithium-ion pour automobiles hybrides et électriques et construire des usines en Europe et aux Etats-Unis, a affirmé lundi la presse.Nissan et NEC, qui commenceront l’an prochain à fabriquer des batteries lithium-ion en série au Japon, via leur coentreprise AESC, projettent d’en produire 200.000 unités par an à compter de 2011, accélérant la montée en charge par rapport aux plans initiaux, a indiqué le quotidien économique Nikkei sans citer ses sources.D’après ce journal, les deux groupes envisagent d’investir 100 milliards de yens (environ 800 millions d’euros au cours actuel) pour équiper des nouveaux sites de production non seulement au Japon, mais aussi en Europe et aux Etats-Unis, afin de pouvoir alimenter directement ces marchés sans se plier aux sévères contraintes réglementaires de transport de ce type de composants à risque."Bien que Nissan ait décidé de réduire ses investissements et dépenses de développement par rapport à ses budgets de départ, et de reporter des projets industriels à cause de la crise que traverse le secteur, le groupe considère qu’il lui faut concentrer ses ressources sur les technologies écologiques sur lesquelles se jouera la compétition à moyen terme", a souligné le Nikkei.Honda, associé depuis peu au spécialiste des batteries japonais GS Yuasa (déjà partenaire de Mitsubishi Motors), de même que Toyota, qui travaille depuis longtemps avec Panasonic, vont également produire en masse des batteries lithium-ion pour équiper leurs voitures hybrides et/ou tout électriques à partir du début de la prochaine décennie.Tous ces duos de constructeurs et électroniciens nippons prévoient aussi de vendre une partie de leur production de batteries à d’autres acteurs de l’automobile.Le PDG de Nissan, Carlos Ghosn, a affirmé récemment lors d’une conférence scientifique à Tokyo qu’aux alentours de 2015/2016, "environ 10 millions des quelque 70 millions de nouvelles automobiles mises en circulation annuellement avanceront à l’électricité".Les batteries lithium-ion sont actuellement considérées comme les plus performants accumulateurs d’énergie pour les futures voitures électriques.Source:/www.romandie.com
-Pyrénées : 1 000 foyers encore privés d'électricité
Un millier de foyers étaient toujours privés d'électricité hier après-midi dans les Pyrénées-Orientales et l'Aude, à la suite des chutes de neige, selon ERDF, la filiale d'EDF gestionnaire du réseau de distribution d'électricité. Dans les Pyrénées-Orientales, les autorités appelaient skieurs et randonneurs à la plus grande prudence en raison des forts risques d'avalanches sur l'ensemble des massifs.Au plus fort des perturbations liées aux intempéries, ce sont au total 14 300 clients dans les deux départements, dont quelque 9 500 dans les Pyrénées-Orientales, qui ont été privés de courant, selon Electricité Réseau Distribution France (ERDF). Hier après-midi, la situation était en nette amélioration grâce à l'intervention de quelque 120 agents : un peu moins de 500 clients étaient encore sans électricité dans chacun des deux départements, d'après la filiale d'EDF.L'objectif était de rétablir le courant en soirée chez la quasi-totalité des clients affectés, un retour à la normale étant prévu dans la journée de lundi pour quelques foyers isolés, précisait-on au service de communication d'ERDF.D'après Jean Dunyach, le chef de la Protection civile des Pyrénées-Orientale, les clients toujours privés de courant vivent dans des hameaux à l'écart de communes dans la région montagneuse du Conflent et la zone du Haut Vallespir. Reste que toutes les communes affectées ont bénéficié de l'apport d'un « point d'alimentation » via l'installation d'un groupe électrogène pour « mettre en sécurité des personnes vulnérables ».
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L’Arménie va choisir le nouveau constructeur du réacteur nucléaire
lundi29 décembre 2008, par Stéphane/armenews
Le gouvernement arménien lancera bientôt une offre internationale pour la construction d’une nouvelle centrale nucléaire en place de celle datant de l’ère soviétique la centrale de Metsamor a déclaré le Ministre arménien de l’Energie Armen Movsisian.
Armen Movsisian a dit que le gouvernement a déjà approuvé les spécifications de l’offre et lancera formellement un appel aux propositions “ dans quelques jours. ” Il s’attend à choisir le gagnant fin février a-t-il dit aux journalistes.
Il n’a pas précisé cependant comment il financera le projet estimé d’un coût d’au moins à 1 milliard de dollars.
Le gouvernement espère faire construire un nouveau réacteur vers 2016, date limite d’exploitation du réacteur de Metsamor qui produit environ 40% de l’électricité de l’Arménie. Le président Serge Sarkissian a annoncé en octobre que les études préléminaires concernant les standards de sécurité commencera “ les mois à venir. ”
Les Etats-Unis et l’Union européenne soutiennent l’ambitieuse idée en principe. Le gouvernement américain a alloué 2 millions de dollars en novembre 2007 pour la première étude de faisabilité sur le projet qui a été conjointement conduit par des experts arméniens et américains cette année. Mais des diplomates américains ont fait comprendre que Washington ne financera pas la construction du nouveau réacteur.
Armen Movsisian a indiqué qu’Yerevan n’avait toujours pas bouclé le financement du projet. Les officiels arméniens en ont parlé de la Russie comme la source probable du financement.
Sergei Kirienko, le chef de l’Agence Fédérale de la Russie sur l’Energie Atomique (Rosatom), a discuté de la question pendant une visite en avril à Yerevan. Il a dit que des sociétés russes ont exprimé un fort intérêt à la construction d’un nouveau réacteur nucléaire arménien et sont bien placées pour gagner l’appel d’offre.
Arment Movsisian a souligné que le gagnant s’occupera seulement de la construction du bâtiment de la nouvelle centrale et que la production d’électricité à partir du nucléaire sera dirigée par une autre société étrangère. “ Nous devons trouver une société bien informée de toutes les subtilités [de production de l’énergie nucléaire] ” a-t-il dit.
Au même moment que la conférence de presse plusieurs douzaines d’emplyés de Metsamor réunis à l’extérieur du Ministère de l’Energie à Yerevan ont exigé des hausses de salaire et de plus grands bénéfices sociaux. Ils ont déclaré que leur salaire moyen était de 130000 drams (420 $) par mois à plus qu’il y a dix ans.
“ Ceux qui travaillent dans le réacteur ne vivent pas d’habitude plus de 55 ans ”a déclaré Vahram Baghdasarian, un ingénieur. “ Ils meurent très tôt. Nos parents étaient parmi eux et le même destin nous attend. ”
“ Nous n’avons aucune protection sociale, aucun espoir pour l’avenir, aucun privilège pour l’aide médicale ” a-t-il dit.
-La prison de Mont-de-Marsan évacuée après une panne de courant
Les 90 détenus de la prison ont été transférés dans des centres pénitentiaires de la région pour des "raisons humanitaires.Une panne d'électricité a plongé dans le noir, dimanche 28 décembre, le nouveau centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan (Landes), obligeant les autorités à évacuer les 90 détenus de l'établissement. La préfecture des Landes a annoncé en début de soirée leur transfert dans des centres pénitentiaires de la région, invoquant des "raisons humanitaires".La panne de courant, survenue à 07h00, pose des problèmes de sécurité dans ce nouveau centre, inauguré le 20 novembre par la ministre de la justice Rachida Dati.D'une capacité maximale de 680 détenus, la prison doit permettre de désengorger les centres pénitentiaires de la région. Les 74 détenus de la maison d'arrêt de Mont-de-Marsan y avaient été transférés le 7 décembre sous la surveillance d'un important dispositif policier.
-Le plus grand parc photovoltaïque des Bouches-du-Rhône
Publié le lundi 29 décembre 2008 à 07H47
Printemps 2010. C'est dans un peu plus d'un an que doit entrer en fonctionnement le plus grand parc photovoltaïque des Bouches-du-Rhône, au pied de Sainte Victoire (35 hectares). Le conseil municipal de Puyloubier vient de confier l'exploitation de ce projet - bien établi en concertation avec les autorités - à EDF. "Puyloubier est déja le plus gros producteur de vin du département. Associer l’appellation Côtes de Provence Sainte-Victoire à un important lieu de production d’électricité par l’énergie solaire sera la nouvelle image de notre village" se réjouit le maire Frédéric Guiniéri.
Le chantier de mise en place sur le site de l'ex-carrière d'argile des Bréguières (là où l'Orchestre philharmonique de Berlin avait donné un concert en 2006) doit démarrer en septembre 2009. Sa production annuelle doit être de l'ordre de 18 millions de KWh, soit l'équivalent de la consommation d'une commune de 8000 habitants. Cinq fois la population de Puyloubier.
-Batteries lithium-ion pour automobile: Nissan et NEC accélèrent les projets
TOKYO - Le constructeur automobile japonais Nissan et son compatriote de l'électronique NEC vont avancer leurs plans de production en masse de batteries lithium-ion pour automobiles hybrides et électriques et construire des usines en Europe et aux Etats-Unis, a affirmé lundi la presse.
Nissan et NEC, qui commenceront l'an prochain à fabriquer des batteries lithium-ion en série au Japon, via leur coentreprise AESC, projettent d'en produire 200.000 unités par an à compter de 2011, accélérant la montée en charge par rapport aux plans initiaux, a indiqué le quotidien économique Nikkei sans citer ses sources.
D'après ce journal, les deux groupes envisagent d'investir 100 milliards de yens (environ 800 millions d'euros au cours actuel) pour équiper des nouveaux sites de production non seulement au Japon, mais aussi en Europe et aux Etats-Unis, afin de pouvoir alimenter directement ces marchés sans se plier aux sévères contraintes réglementaires de transport de ce type de composants à risque.
"Bien que Nissan ait décidé de réduire ses investissements et dépenses de développement par rapport à ses budgets de départ, et de reporter des projets industriels à cause de la crise que traverse le secteur, le groupe considère qu'il lui faut concentrer ses ressources sur les technologies écologiques sur lesquelles se jouera la compétition à moyen terme", a souligné le Nikkei.
Honda, associé depuis peu au spécialiste des batteries japonais GS Yuasa (déjà partenaire de Mitsubishi Motors), de même que Toyota, qui travaille depuis longtemps avec Panasonic, vont également produire en masse des batteries lithium-ion pour équiper leurs voitures hybrides et/ou tout électriques à partir du début de la prochaine décennie.
Tous ces duos de constructeurs et électroniciens nippons prévoient aussi de vendre une partie de leur production de batteries à d'autres acteurs de l'automobile.
Le PDG de Nissan, Carlos Ghosn, a affirmé récemment lors d'une conférence scientifique à Tokyo qu'aux alentours de 2015/2016, "environ 10 millions des quelque 70 millions de nouvelles automobiles mises en circulation annuellement avanceront à l'électricité".
Les batteries lithium-ion sont actuellement considérées comme les plus performants accumulateurs d'énergie pour les futures voitures électriques.
-Voitures électriques : Un rêve nucléaire ?
Selon les heures et la durée de charge de batterie, la consommation d’électricité peut-être plus ou moins élevée.©Flickr
Selon une étude du cabinet SIA conseil, la flotte de véhicules électriques pourrait atteindre 1,4 million d’unité en 2020. Cela représenterait une consommation électrique équivalente à la production annuelle d’un réacteur EPR.
La demande en électricité issue du développement de la voiture électrique en France nécessiterait, d’ici à 2020, l’équivalent de la production annuelle d’un réacteur nucléaire EPR. C’est ce qu’indique une étude du cabinet Sia Conseil publiée vendredi par Les Echos. Selon le cabinet conseil, le parc automobile français qui compte 10 000 véhicules électriques pourrait évoluer vers une flotte de 1,1 à 1,4 million de voitures d’ici à la fin de la prochaine décennie qui génèrerait une économie de 6 millions de tonnes de CO2. Cette estimation du parc, qui corrobore celle des constructeurs automobile, représenterait alors une consommation pouvant atteindre de 12 terawattheures. Le niveau de consommation peut être plus ou moins élevé en fonction du nombre exact de véhicules électriques (entre 3 et 4% du parc total) des heures de chargement des accumulateurs, de la durée de chargement des batteries. Dans les hypothèses les plus hautes formulées par SIA, la consommation pourrait même atteindre le niveau de 2 réacteurs
-Areva : l'EPR "sauvé" par la voiture électrique ?
Si Vahiné c'est gonflé ... Areva, c'est pas mal non plus ! Alors que son projet d'EPR est de plus en plus controversé, tant sur l'aspect environnemental qu'au point de vue financier, le groupe nucléaire civil français aurait enfin trouvé un argument en béton pour "justifier" sa stratégie.
Selon une étude réalisée par Sia Conseil, mise en avant par le journal "Les Echos", le développement de la voiture électrique en France pourrait entraîner d'ici à 2020 un besoin annuel en énergie correspondant à la production d'un à deux réacteurs EPR. Ce qui, vous l'avouerez, tombe à point nommé.
Selon Sia Conseil, le développement de la voiture électrique en France devrait induire une augmentation non négligeable des besoins en électricité de l'hexagone. Il pourrait entraîner d'ici à 2020 un besoin annuel en énergie de l'ordre d'un réacteur EPR, soit près de 12 terawattheures.
Il demeure néanmoins complexe d'estimer les besoins en énergie liées au déploiement de ce type de véhicules, ces derniers variant à la fois en fonction de la vitesse de rechargement des batteries - entre deux et huit heures - et des périodes de charge (nocturne ou diurne). Quà cela ne tienne, Sia estime de ce fait que les besoins en infrastructures nucléaires pourraient aller jusqu'à deux EPR !
A noter également que l'étude se base sur des hypothèses très optimistes. Selon le cabinet, les flottes d'entreprises, dites captives, et la location de très courte durée devraient rentabiliser le développement de cette filière, pour atteindre 3% à 4% du parc de véhicules en 2020 en France, soit 1,1 à 1,4 million de véhicules.
Une analyse qui se veut toutefois proche des projections internes de Renault, lequel parie sur une « rupture rapide » dans le déploiement des véhicules électrique. Le constructeur table ainsi sur un parc de plus de 100.000 véhicules de ce type dans l'Hexagone en 2015 et de plus de 1 million en 2020, contre moins de 10.000 actuellement.
Selon une projection du cabinet PricewaterhouseCoopers (PWC), les voitures électriques devraient représenter une flotte mondiale (!) de 1,5 million de véhicules à l'horizon 2020. Si l'on rapproche les deux études, la totalité des voitures électriques qui circuleront en 2020 seront donc conduites par nos concitoyrens, fichtre ...
Selon le meilleur scénario envisagé par PWC, le nombre de véhicules électriques pourrait même atteindre 2,5 millions. Mais bien que l'électricité soit meilleur marché que les carburants automobiles actuels, et que l'exploitation d'une voiture électrique soit moins coûteuse, les coûts d'acquisition représenteraient le principal obstacle, si l'on en croit le cabinet.
Rappelons que le développement de la voiture électrique devrait être intégré dans le nouveau plan d'aide à l'industrie automobile qui devrait être annoncé par Nicolas Sarkozy fin janvier. Lequel pourrait être tenté - à la suite de son quinquennat - de prendre la tête d'un nouveau géant du nucléaire réunissant Bouygues et Areva . La boucle serait-elle bouclée ? ...
-fin
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